Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 01:09
Massú y sus medallas: “Cada día que las veo me siento orgulloso”

El viñamarino recordó sus participaciones olímpicas, luego de la definición del tenis en Londres 2012, que terminó con el oro de Andy Murray. “Es súper emocionante”, dijo.

 

En conversación ADN Radio Chile, el doble campeón olímpico, Nicolás Massú, recordó los momentos vividos en Atenas 2004, donde obtuvo la presea dorada de tenis en singles y en dobles, junto a Fernando González.

 

”Cuando yo me gané las dos medallas de oro fue algo inolvidable, que todos los días me da una seguridad, una felicidad muy grande, y la verdad, orgulloso de eso”, señaló el ex número nueve del mundo.

 

“Es algo súper emocionante. Cada día que entro a mi casa y las veo me siento orgulloso, un sueño hecho realidad (…) Feliz de haber logrado algo tan importante en el deporte, porque son años y años de sacrificio que se ven reflejados en triunfos y derrotas”, añadió.

 

Finalmente, el viñamarino se refirió a la histórica actuación del gimnasta Tomás Gonzalez en estos Juegos, donde obtuvo el cuarto lugar en la prueba de suelo y mañana disputará la final de salto. “Estuvo muy cerca (de medalla). Tuvo una muy buena participación y esperar que mañana pueda lograr una medalla en la otra competencia que le queda”, concluyó.

 

Partager cet article
Repost0
6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 00:05
Massú: Estoy orgulloso de las dos medallas de oro que gané en JJOO de Atenas
ADN | Agosto 5 de 2012

 

Nicolás Massú quien ganó medallas de oro: en singles y dobles en los JJOO de Atenas 2004 recordó junto a ADN Deportes su participación en dichas olimpiadas. ’Es algo inolvidable estar representando a tu país, en la mayoría de nosotros sentimos mucho jugar por nuestra camiseta. Los JJOO uno los ve desde niños entonces, a veces que te entreguen una medalla es una emoción muy grande, muy fuerte'', señaló.

''Cuando yo me gané las dos medallas de oro fue algo inolvidable, que todos los días me da una seguridad, una felicidad muy grande, y la verdad, orgulloso de eso , y me imagino como debe estar Juan Martín (Del Potro), que ahora sacó la medalla de bronce después de haber perdido un partidazo con Roger'', comentó.

 

El tenista dijo que tuvo la posibilidad de ver al gimnasta Tomás González indicando que ''estuvo muy cerca, tuvo una muy buena participación y esperar que mañana pueda lograr una medalla en la otra competencia que le queda (…) que siga haciéndolo tan bien como siempre lo ha hecho''.

El viñamarino afirmó que las medallas que ganó, su madre las enmarcó y están guardadas en su habitación, ''para mí es algo súper emocionante, cada día que entro a mi casa y las veo me siento orgulloso, un sueño hecho realidad, la verdad que muy contento y feliz de haber logrado algo tan importante en el deporte porque son años y años de sacrificio que se ven reflejados en triunfos y derrotas''. Las coronas que recibió en los olímpicos de Atenas, añadió en ADN Radio Chile, que también están enmarcadas junto a las medallas, ''están bien cuidadas''.

El nombre de Nicolás Massú está estampado en una estación de Londres hasta donde no puedo llegar en esta oportunidad. ''Es una pena que no pude estar jugando, me hubiera encantado. Como que me da un poco de nostalgia pero hay que seguir luchando, ver otras cosas positivas: Estuve en tres Juegos Olímpicos y eso también fue algo inolvidable para mí'', concluyó.

 

 

Partager cet article
Repost0
5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 23:13

ya050812

Partager cet article
Repost0
5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 18:10

nico0508121.jpg

nico0508122.jpg

Partager cet article
Repost0
5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 02:10
Tennis - Jeux Olympiques
Federer, sur les traces de Massu
Publié le 04/08/2012 à 20:30, mis à jour le 04/08/2012 à 20:45

Un seul homme est parvenu à remporter deux médailles d'or en tennis depuis leur retour aux JO : Nicolas Massu, en simple et en double en 2004. Déjà titré en double à Pékin, Roger Federer peut l’égaler dimanche.

 

Federer comme Massu - Tennis - Jeux OlympiquesDPPI

"J'adorerais faire la même chose que Massu." Toujours aussi au fait des palmarès de son sport, Roger Federer rendait en début de semaine hommage au Chilien Nicolas Massu, médaillé d'or en simple et en double à Athènes, en 2004. Le double, le Suisse l'a déjà gagné, en 2008. Le simple, il tentera de l'arracher dimanche face à Andy Murray. Depuis Miami, où il s’entraine, Massu s’est montré touché par la référence à ce qui est le grand fait d’armes de sa carrière : "Je sais que j’ai un parcours à part. Je m’en rends compte tous les quatre ans ! Même quand on m’aura un peu oublié, je reviendrai toujours sur le devant de la scène lors des Jeux. Je resterai celui qui a gagné deux médailles d’or à Athènes." La voix est douce, le ton posé. Nulle vanité, ni regret, dans les propos de Nicolas Massu. Juste la fierté, toujours bien présente, d’avoir réussi à accoler son nom à ceux d’Agassi, Kafelnikov ou Nadal dans la légende olympique.

 

Federer comme Massu - Tennis - Jeux Olympiques Quand arrivent les Jeux d’Athènes, le Chilien a 24 ans et gravite autour du Top 10 mondial depuis quelques mois déjà. Ce rendez-vous, il l’attend avec impatience : "A Sydney déjà, alors que j’étais tout jeune pro, j’avais eu la chance d’être le porte-drapeau de mon pays lors de la cérémonie d’ouverture. Porter le drapeau du Chili aux Jeux, c’était extraordinaire. J’ai tout de suite aimé cette compétition." C’est que Massu et son ami d’enfance Fernando Gonzalez, cent sélections en Coupe Davis à eux deux, ne badinent pas avec la représentation nationale. Les Jeux étaient un terrain d’expression idéal à leur patriotisme : "Représenter le Chili est une des choses les plus importantes que j’ai connu en tant que sportif, reprend l’ancien N°9 mondial. Je suis très fier d’être chilien, fier de mon pays. Chez nous, les succès sont encore plus durs à obtenir qu’ailleurs, à cause de l’éloignement géographique et du manque d’argent. Le moindre déplacement hors du pays coûte très cher. Tout est plus difficile depuis notre bout du monde, et cela nous a rendus encore plus heureux de donner aux Chiliens leurs deux premières médailles d’or."


8 heures de jeu en 24 heures : Djokovic en est encore bluffé

Athènes marque le sommet de la carrière de Nicolas Massu, et la gloire du sport chilien : jamais encore le pays n’avait remporté l’or olympique. En 24 heures, Nicolas Massu lui en apporte deux, dans une compétition où les meilleurs, Federer et Roddick en tête, étaient pourtant bien présents. En double d’abord, associé à Gonzalez, pour une victoire en cinq sets sur Kiefer et Schuettler. En simple ensuite, après une victoire en cinq manches sur Mardy Fish. Huit ans plus tard, Novak Djokovic en est toujours soufflé : "Je n’ai jamais revu depuis quelqu’un produire un effort comparable sur un court de tennis", saluait-il jeudi. En tout, Massu aura passé huit heures sur le court en moins de 24 heures. "C’était incroyable, un vrai tourbillon, se souvient l’intéressé. Si on m’avait dit que j’avais ça en moi… Le meilleur moment, je crois que c’est juste après le simple, quand j’ai gagné ma deuxième médaille. Tout était enfin fini, je pouvais savourer ce que j’avais accompli. J’avais tant lutté pour en arriver là…"


Modèle de combativité, doté d’un fort tempérament sur le court, Massu dit s’être forgé sa carapace de dur au mal auprès de ses grands-parents maternels, Hongrois d’origine juive et survivants des camps d’extermination durant la Seconde Guerre mondiale. Ils auront été une source d’inspiration permanente pour leur petit-fils : "J’ai toujours dit que s’ils avaient survécu à ça, je pouvais bien me battre sur un court de tennis !" C’est d’ailleurs ce grand-père récemment disparu, Ladislao Fried, architecte réputé et auprès duquel les équipes de Steven Spielberg sont venues chercher conseil pour le tournage de La liste de Schindler, qui le détourna du sacro-saint football en lui mettant une raquette entre les mains quand il était enfant. Sans imaginer alors que la ténacité de son petit-fils le conduirait jusqu’au balcon du palais présidentiel de la Moneda, sous les acclamations de milliers de compatriotes.

Federer comme Massu - Tennis - Jeux Olympiques Car au lendemain d’Athènes, le retour au pays est triomphal : "Tout le Chili est descendu dans les rues pour nous saluer et nous marquer son affection. C’était très beau, comme un rêve. J’en ai pleuré. Tant de joie au milieu de toutes les difficultés du pays… J’étais content de pouvoir donner ce bonheur aux gens, et d’avoir leur reconnaissance en retour, pour la sincérité avec laquelle j’ai toujours représenté mon pays. Du début de ma carrière jusqu’à aujourd’hui, chaque fois que je joue pour le Chili c’est comme si ma vie en dépendait. A la vie, à la mort." La petite mort du sportif, Nicolas Massu y a ensuite goûté. Quelques blessures – aine, genou, coude – et puis des hauts, des bas, des fluctuations de forme et de motivation : "L’année après Athènes a été difficile. J’ai fini par rebondir, mais toujours avec un certain manque de constance dans mon jeu. J’ai encore connu quelques bonnes années, d’autres moins bonnes, des phases excellentes et de très mauvaises. Les blessures m’ont souvent stoppé net, et derrière, de voir son niveau baisser sans pouvoir rien faire, ça affecte énormément."

 


Londres : "La première fois de ma carrière que les Jeux se déroulent sans moi"


En tant que champion olympique en titre, il est encore du voyage à Pékin, en 2008, pour ses troisièmes olympiades consécutives : "En fait, c’est à ce moment-là que j’ai commencé à vraiment réaliser ce que j’avais accompli à Athènes : en comprenant à quel point ça serait difficile de reproduire ça à Pékin. J’ai vu les tableaux, et pff… C’est là que j’ai regardé en arrière et que j’ai pris conscience de ce que j’avais réussi. Et, depuis, à chaque jour qui passe je m’en rends un peu plus compte. Quand j’étais enfant, je rêvais de réussir quelque chose de grand dans le monde. Grâce aux Jeux, j’y suis parvenu." La mélancolie pointe alors : "C’est une période bizarre, en ce moment. C’est la première fois de ma carrière que les Jeux se déroulent sans moi… J’ai espéré recevoir une invitation mais, il faut être honnête, au vu de mes résultats ces derniers mois, je comprends que ça ne soit pas le cas."


Malgré une tendinite au coude persistante, le Chilien, à bientôt 33 ans, s’est lancé un dernier challenge, et vient de reprendre la compétition en Amérique Latine. "Je tente de m’offrir une belle fin de carrière. Me faire opérer signifiait quasiment la fin. J’ai préféré miser sur le kiné et la récupération. J’espère retrouver un classement acceptable, revenir sur les gros tournois ATP, rejouer la Coupe Davis, aussi. J’ai parlé avec Tommy Haas, qui est resté deux ans sans jouer à cause d’une blessure, et son exemple m’inspire beaucoup. Ceux de Juan Carlos Ferrero et Lleyton Hewitt, aussi. Je veux me sentir heureux de mon tennis une dernière fois."

 

Loin du village olympique de Londres, mais toujours imprégné de l’esprit des Jeux : "Ce que j’ai fait à Athènes, on est peu nombreux à y être parvenus. Je me souviens que, quelques jours après ma victoire, Andre Agassi est venu me féliciter dans le vestiaire à l’US Open, et on a échangé sur nos ressentis, nos médailles d’or. Lui, moi ou Federer, nous partageons tous la même fierté. Voir leurs larmes sur le podium exprime bien la valeur qu’ils accordent à la compétition. Et être reconnu par ces champions est quelque chose d’indescriptible." Du haut de ses deux médailles d’or, dimanche, il ne sera peut-être plus seul au sommet de l’Olympe.

 

Eurosport - Guillaume WILLECOQ
Partager cet article
Repost0
4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 19:21

Nico esta de vuelta en las canchas de Europa despues unos semanas sin jugar por culpa de una lesión del codo derecho. Tiene una invitación por el Cuadro principal del Challenger de San Marino en arcillas y en la primera ronda ,enfrentará a Franco Skugor (Croacia, 963° en el ranking ATP).

En 2011, Skugor gano a Nico en el Challenger de San José,Costa Rica ( Cemento) por 6-3 y 6-3.

 

Nicolas is finally back on courts after some weeks off due to an injury on his right elbow.He got a Wc for the San Marino Challenger Main draw,on clay, and will play Franco Skugor,born in Croatia in 1987 and currently #963 at the ATP ranking.

They've played each other once, in the San Jose Challenger,on hard,in 2011 and Skugor won 6-3 6-3.

 

Tournament : San Marino Cepu Challenger

Location : San Marino

Date : 6-12 Agosto

Surface: Arcillas, Clay

Prize money : 85 000€

 

Nico's part of the draw:

 

(5) Rogerio Dutra Silva(BRA) vs (WC) Walet Trusendi (ITA)

Qualifier vs Antonio Veic (CRO)

Leonardo Kirche (BRA) vs Marek Michalicka (CZE)

Marsel Ilhan (TUR) vs (4) Albert Montanes (ESP)

 

(6) Simone Bolelli (ITA) vs Matwe Middelkoop (NED)

Franco Skugor (CRO) vs (WC) NICO MASSU (CHI)

Pedro Sousa (POR) vs Gianuca Naso (ITA)

Julio Silva (BRA) vs (2) Blaz Kavzic (SLO)

 

 

Partager cet article
Repost0
3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 23:00

nico0308126

nico0308122

nico0308121

nico0308123

nico0308124

nico0308125

Partager cet article
Repost0
2 août 2012 4 02 /08 /août /2012 21:45

 Djokovic: "Nunca vi un esfuerzo como el de Massú"

El serbio se sumó al reconocimiento de Roger Federer al viñamarino por las dos medallas de oro ganadas en Atenas 2004. Eso sí, indicó que cree que es posible igualar esa marca.

 

ENZO GARRIDO AGUILAR

Enviado especial a Londres





El Mercurio.com 02_08_2012

 

"Nole" sufrió más de lo esperado. En el primer parcial y en gran parte del segundo estuvo bastante perdido y ofuscado. No le salía ninguna. Por contra, el australiano de 31 años lo bombardeaba con lo mejor de su arsenal. Luego, el tercer set fue cómodo y tras ganar alzó los brazos, saludó al público y se dejó querer.

Después de la tensión llegó a la sala de prensa relajado. Cada pregunta la recibió con una sonrisa. Escuchaba, asentía y se explayaba. "Se siente muy diferente y extraño estar en el All England Tennis para jugar un torneo que no sea Wimbledon, por toda la tradición que tiene este lugar. Me fascina, porque se siente mucho al público que apoya y se crea un clima parecido al de la Copa Davis: cada país alienta a los suyos".

Para el serbio, Londres 2012 es una suerte de revancha de lo que vivió en Beijing 2008, donde tuvo que conformarse con el último puesto del podio. Reconoce que la fotografía junto a Rafael Nadal y Fernando González "fue uno de los mejores recuerdos que tengo, uno de mis mayores orgullos es haber ganado una medalla para mi país, Espero que esa situación se vuelva a repetir acá en Londres", señaló ante la pregunta de "El Mercurio".



Además, consultado por este mismo medio, se cuadra con Federer al catalogar como una "hazaña" las dos medallas de oro del viñamarino en Atenas 2004, pero cree que en algún momento alguien va a igualar tamaño logro, el que comparó con las 19 preseas de Michael Phelps: "Creo que es posible que algún tenista consiga lo de Massú. Claro que hay que tener conciencia de que lo que hizo Nicolás es un esfuerzo que jamás se lo he visto hacer a alguien en una cancha de tenis. Pero, aún así, pienso que todo se puede en el deporte. En otras disciplinas ya se ha hecho algo que nadie creía, por ejemplo, está el caso de Michael Phelps, quien también alcanzó algo que nadie pensaba que se podía hacer. Para que eso ocurra, se necesita saber aprovechar cuando uno está en su mejor nivel y que la suerte lo acompañe, así que para mí todo es posible. Solo hay que creer que se puede lograr", aseguró.

Los más grandes aún se rinden ante Massú.

BRONCE

 

El número 2 del mundo obtuvo el tercer lugar en Beijing 2008, detrás de Rafael Nadal y Fernando González

"Lo que hizo Nicolás es un esfuerzo que jamás se lo he visto hacer a alguien en una cancha de tenis". Novak Djokovic



Ahora es Djokovic el que alaba los logros de Massú

Partager cet article
Repost0
1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 12:42
Massú y elogios de Federer: "Me dan más fuerza para seguir"

El tenista chileno se mostró orgulloso después de que el número uno del mundo asegurara que "va a ser muy difícil repetir" las dos medallas de oro que consiguió el viñamarino en los JJ.OO de Atenas 2004.

 

Por Javier Ugarte Marisio, Emol

31_07_2012

 

SANTIAGO.- Feliz se mostró este martes el tenista chileno Nicolás Massú tras enterarse de los elogios que le brindó el numero uno de la ATP, el suizo Roger Federer.

El helvético señaló a El Mercurio que "será muy difícil igualar las medallas que ganó Massú (en los Juegos Olímpicos de Atenas 2004). Lo que el hizo fue fenomenal".

Y agregó que "lo que sucedió en esos Juegos fue increíble, una hazaña, algo extraordinario; su país debe estar orgulloso de eso, ya va a ser muy difícil repetirlo".

Massú y elogios de Federer: 'Me dan más fuerza para seguir'
Nicolás Massú se encuentra entrenando en Miami y comentando para una cadena de televisión norteamericana los JJ.OO. de Londres.
Foto: El Mercurio

SANTIAGO.- Feliz se mostró este martes el tenista chileno Nicolás Massú tras enterarse de los elogios que le brindó el numero uno de la ATP, el suizo Roger Federer.

El helvético señaló a El Mercurio que "será muy difícil igualar las medallas que ganó Massú (en los Juegos Olímpicos de Atenas 2004). Lo que el hizo fue fenomenal".

Y agregó que "lo que sucedió en esos Juegos fue increíble, una hazaña, algo extraordinario; su país debe estar orgulloso de eso, ya va a ser muy difícil repetirlo".

Al respecto, Massú, quien se encuentra entrenando en Miami y comentando para una cadena de televisión norteamericana los JJ.OO. de Londres, señaló a Emol que "es un orgullo que el mejor tenista del mundo y quizás de todos los tiempos te elogie de esa forma".

"La verdad que sus palabras me dan más fuerza para seguir luchando. Me dan mayor confianza en seguir mejorando cada día más mi tenis", recalcó el doble medallista de oro en Atenas 2004.

Recordemos que Massú también recibió el lunes los elogios de Novak Djokovic y Juan Martín Del Potro, sobre su participación en tierras griegas.
Hoy el nacional se mantiene en el puesto 668° del ranking mundial y ha disputado sólo cuatro torneos durante este año, debido a las lesiones.
Partager cet article
Repost0
30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 01:36

El gran tesoro olímpico

 

Por Nicolás Massú

LaTercera.com

 

Tenía enormes ganas de haber podido estar ahí, en los Juegos de Londres 2012. Siempre quise, y luché, por participar en mis cuarta cita por los anillos, lo que hubiese sido un récord, tremendamente importante para mí y el deportes chileno. Pero no se pudo... Las lesiones y mi momento tenístico lo impidieron. Ahora sólo me queda recordar con alegría y nostalgia los grandes momentos que viví defendiendo a mi país en un evento deportivo tan grandioso, el más espectacular del planeta.

 


Lo pasé tan bien las tres veces que fui... Aprendí mucho: estar con otros deportistas durante todos los Juegos es una experiencia impagable. Me tocó ser figura en Atenas 2004, hoy ni siquiera tuve una opción de estar en el cuadro principal. Es así esto, a veces uno clasifica y otras, no. Es así de simple. Si uno juega bien, merece ir. Es como cuando quieres ir a algún torneo ATP: deber tener cierto ranking. Si no lo tienes, no juegas.

 

Al jugarse cada cuatro años, la presión crece mucho. Los tenistas disputan Grand Slam todos los años, cuatro por temporada. Y si fallas, tienes la revancha a la vuelta de la esquina. Ahí está la gran diferencia. Los Juegos Olímpicos son cada cuatro años y en ese tiempo pasan muchas cosas. El tenis dentro de todo es un deporte que tiene movimientos constantes, a diferencia de otros deportes, donde las figuras pueden cumplir dos y hasta tres ciclos como figuras únicas de sus disciplinas.

Por lo tanto, es complicado mantenerse. A los tenistas nos pasa como a los futbolistas, que clasifican a tres o cuatro mundiales en su vida, si tienen suerte. En fin, me tendré que quedar con mis tres participaciones olímpicas, atesorarlas para siempre. Desde afuera, ahora ocuparé lo que sé de este hermoso deporte para analizar lo que se viene en el tenis de Londres 2012, donde la gran ausencia será Rafael Nadal, el tercer mejor jugador del planeta, según el ranking de la ATP.


De todas formas, los favoritos son los mismos de siempre. En el circuito, hay un grupo que está por sobre el resto, pero en el tenis nunca puedes descartar una sorpresa. Si nos vamos por lo obvio, Roger Federer (1º) y Novak Djokovic (2º) tienen una ventaja en las apuestas y yo sumo a un tercero: Andy Murray, que siempre esta ahí y que ya demostró en Wimbledon que el pasto de Wimbledon le acomoda. Además, tendrá el apoyo del público como dueño de casa.

Hay un elemento que debemos considerar, a diferencia de la mayoría de los torneos grandes. Acá también se juega dobles. No tengo claro si los tres apostarán por las dos medallas o buscará sólo la de singles. Federer ya ganó el oro en dobles en Beijing 2008. Conociendo su afán competitivo, querrá colgarse las dos preseas olímpicas. Hay que seguir el tenis en Londres, porque será de lo más atractivo de estos Juegos Olímpicos.

 

 

 

Partager cet article
Repost0